Bartllebooth va prendre quelques vacances d'une dizaine de jours où il pourra profiter de sa famille et d'un repos mérité (si, si je les mérites ne riez pas). La probabilité que mes doigts puissent rencontrer un clavier d'ordinateur et mes yeux un écran est très très faible...je vais donc laisser mon bébé à son triste sort en l'abandonnant provisoirement jusqu'au 2 Janvier 2007. Cela fait maintenant trois mois que je rédige ce blog, pour mon plus grand plaisir et j'espère pour le votre, la fréquentation est passée de 4 à 5 personnes jours à une quarantaine aujourd'hui, alors à vous tous qui me...
The deftones : white pony Du lourd, du très très lourd,un album de néo métal (le seul que je possède) que je pourrai mettre aisément dans mon top 10. Cet album a un réel effet hypnotique sur moi le chant de Chico à la limite de la rupture, les guitares assourdissantes, cette ambiance de fin de règne et de déchéance,magique E.S.T : seven days of falling C'est avec cet album que j'ai découvert E.S.T . Un son unique, des morceaux magnifiques, est ce vraiment du jazz ? je n'en sais rien mais en tout cas c'est beau. Branchez vous sur la montée crescendo de Elevetion of love ou sur la quiétude de seven...
Finalement j’y reviens à ce disque de Sting…Avec Sting, des sentiments ambivalents cohabitent dans mon petit esprit névrosé….d’un coté il m’a permis de rencontrer ma femme (même si je ne pense pas qu’il soit au courant de ce fait essentiel à la survie du monde contemporain), mais de l’autre j’ai toujours trouvé que sa musique tendait vers une soupe pour trentenaire capitaliste occidental (ah merde je crois que je rentre dans cette définition…). Les puristes parleront de Police mais Police mes petits vieux cela fait un paquet d’années que c’est fini. Et puis j’ouvre ma gueule mais il y a des morceaux...
Et je continu ma lecture dans l’ordre chronologique des livres d’Ed Mc Bain sur le 87eme district. J’en avais déjà parlé ici http://bartllebooth.over-blog.com/article-4073864.html. Je débute donc le tome 6 de l’anthologie publiée chez Omnibus avec ce roman Lightning. Les chroniques du 87eme district ont débutées en 1955 et nous sommes là sur un roman publié au début des années 1980. La série est en même temps identique dans son fonctionnement et en même temps différente, on observe les évolutions techniques de la police et les évolutions sociologiques des Etats-Unis. Ce roman reprend les caractéristiques...
Dominique a : la mémoire neuve Il y a un bon moment que je ne l’avais écouté ce disque. Dominique A a vraiment une voix intéressante qui fait passer l’émotion, un certain nombre de chansons sont formidables mais le coté « fait à la maison » et orgue bontempi minimaliste est de temps en temps un peu agaçant. Le potentiel des chansons à résister au temps est par contre extraordinaire. Jeff Buckley : Grace Après avoir raillé les talents de nageur de Jeff Buckley, je ne peux que lui rendre hommage avec son premier disque, le seul terminé avant sa mort. Que dire ce disque m’a accompagné plus jeune,...
Le désormais fameux compte rendu du week-end.. ouah comment il se la joue…oui bon je me calme, il faut bien que je parle de ce que je vis quand même ….. Bref week-end classique, un samedi de visites aux gens que j’aime, un échange une parole ou même rien juste montrer qu’on est là…Pas de grandes chevauchées sur non cheval d’acier mais stationnement sur cette magnifique ville d’Amboise et de son marché de noël…un de plus mais pas le plus moche (je m’étonne de mon propre chauvinisme). J’aime quand même l’ambiance de cette ville, toujours animée et le château dominant l’ensemble. Dimanche sociable...
Petite note paresseuse d’un vendredi où l’arrivée du week-end est plus que désirée, elle est nécessaire, voir indispensable. Quelques événements de la semaine me font en tout cas dire qu’il faut profiter du moment présent, on ne sait jamais de quoi demain est fait, et que des surprises cruelles peuvent tout détruire en un instant. On a beau courir vers le futur, parfois le passé peut vous rattraper et l’expression « remettre les pendules à zéro » ne fonctionne pas toujours. Les grands principes et règles sont enfin peu de choses confrontés aux destins individuels. Par contre je crois avoir découvert...
C’est un livre sur quoi ? un musicien ? Le temps qui passe ? La création artistique ? L’entre deux guerres ? C’est tout à la fois et c’est magnifique. On suit donc Ravel sur les 10 dernières années de sa vie arrivant à son apogée, sur un malentendu, avec la création du Boléro et sa décrépitude physique l’emmenant à la fin. Comme toujours avec Echenoz, le mot est juste la connivence avec le lecteur acquise et la distance ironique assumée. Un écrivain pareil c’est du bonheur. Un court roman (120 pages) qui se lit d’une traite avec un rythme juste.
The velvet underground & Nico : Il existe des disques qui sont des monuments, qui ont une aura mythique. Ce disque là en fait parti, rien que les noms Andy Warhol , Lou Reed, Nico cela fait revivre une époque presque lointaine que je n’ai pas vécu vu mon jeune age…Et le disque me direz vous et bien il est pas mal mais bon je ne suis pas emballé de l’ensemble non plus. Quoi pas emballé par ce disque mais c’est impossible…mais si, je pense que je ne suis pas de l’époque donc pas autant sensible que je pourrai l’être…cela reste une référence quand même The Wallflowers : Bleach Mon plombier a un fils...
Les polars sur le monde de l’art sont à la mode depuis un fameux succès du Da Vinci code. On ne peut reprocher à Iain Pears de surfer sur cette vague vu qu’il fût plutôt précurseur de celle-ci. Critique d’art reconnu, il a écrit quelques livres dans la lignée du nom de la rose (le songe de Scipion ou le cercle de la croix) et toute une série policière avec des personnages récurrents Jonathan Argyll (marchand d’art tournesolesque), sa femme Flavia Di Stephano (policière italienne), le chef de celle-ci Bottando et une voleuse de haut vol frôlant le troisième age Mary Verney. Tous les livres de cette...