La solitude du conducteur de grue
10
juil.
2009

Alors que faire ? se trouver une obsession pour rester sur la ligne de flottaison (pensée pour Jean Rolin edit : publié à 18H30, mon esprit après quelques verres de vouvray demi sec et en lisant des histoires à ses filles à fait tilt, la ligne de flottaison, c'est Jean Hatzfeld et le livre fut chroniqué içi...mémoire à trou chimique revenue à un niveau acceptable à 22H45 ). Cette obsession pour la semaine en cours, c’est Elbow, j’ai donc flâné avec mes doigts de main devant la fixité de l’ordinateur et trouvé 3 autres pépites qui, si elles n’égalent pas l’effet de Mirrorball sur moi peuvent m’emmener quelques temps vers un esprit sans douleur.
Nous voici donc avec un titre plus ancien, Fugitive Motel, qui lui emmène la quiétude dans l’inquiétude.
The loneliness of the tower crane . Cette solitude du conducteur de grue, arrivons nous à piloter et bien diriger cette grue qu’est notre corps et notre cerveau ?La version a été enregistré lors de la remise du Mercury prize et elle est plus que somptueuse, habitée.
Enfin Friend of ours, chanson sur un ami disparu, disparaître un jour, hélas c’est notre lot à tous, le plus tard possible cependant, belle chanson sur le souvenir.
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