L'arche des kerguelen Jean Paul Kauffmann
15
sept.
2009
L’île ( les îles, l‘archipel donc) des Kerguelen... Je crois que chaque petit garçon ( ou fille) ayant lu dans sa jeunesse en a sûrement rêvé un jour... si au sud, si loin de tout, désertique sans être un désert... Ces terres australes, elles ont fait rêver Jean Paul Kauffmann également. Il a donc décider de s’y rendre, pour voir, pour comprendre, et se rendre vers cette arche dont il avait du voir une image un jour, image se gravant dans son in(conscient).
Le voila donc parti, tout d’abord par bateau (seul moyen de rallier les Kerguelen)et arrivant sur l’archipel de désolation.
On suit donc ces pérégrinations dans ce port aux français, base de la délégation française, puis randonnant (errant) dans l’archipel, à suivre un but qu’il n’atteindra pas. Mêlant ses pérégrinations à un historique de l’île, de ses différents explorateurs, il nous parle autant de l’intime que de l’universel.
C’est peut être dans ces lieux, si désertiques, si inhumains, que là l’humain peut (peut être) se retrouver. Il n’y a rien pour s’y cacher, pour s’y disperser, mais le risque est que l’on peut faire face à l’aridité de l’âme. Mais même si l’on a du mal à se cacher, les mots de Jean Paul Kauffmann lui permettent de masquer certaines choses, tout en dessinant d’autres, un paysage et une âme brumeuse, floconneuse.
Le voila donc parti, tout d’abord par bateau (seul moyen de rallier les Kerguelen)et arrivant sur l’archipel de désolation.
On suit donc ces pérégrinations dans ce port aux français, base de la délégation française, puis randonnant (errant) dans l’archipel, à suivre un but qu’il n’atteindra pas. Mêlant ses pérégrinations à un historique de l’île, de ses différents explorateurs, il nous parle autant de l’intime que de l’universel.
C’est peut être dans ces lieux, si désertiques, si inhumains, que là l’humain peut (peut être) se retrouver. Il n’y a rien pour s’y cacher, pour s’y disperser, mais le risque est que l’on peut faire face à l’aridité de l’âme. Mais même si l’on a du mal à se cacher, les mots de Jean Paul Kauffmann lui permettent de masquer certaines choses, tout en dessinant d’autres, un paysage et une âme brumeuse, floconneuse.
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