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le blog bartllebooth Blog de vieux con

écoute perpétuelle épisode 19

BARTLLEBOOTH

Del Amitri : change everything

 

Un groupe écossais dont je connais peu de choses, mais je l’avais vu mettre le feu à un Taratata il y a des années. Cet un album formidable, de rock pop basique, bien équilibré un peu folk sur les bords. On sent un groupe sincère qui ne calcule pas, qui fait juste ce qui lui plait et qui est de ce fait touchant. C’est étonnant que ce groupe soit peu connu car il y a des titres dans ce disque qui sont de véritables hits en puissance (enfin pour moi en tout cas…)

 

Extreme : III sides to every story

 

J’ai eu une courte période Hairy metal (non ne riez pas) et ce disque fait parti de ma maigre collection dans le domaine. Comme dans tous les disques de ce genre il y a trop de tout…les musiciens ont trop de cheveux, ils jouent trop fort il y a trop d’instruments, la production fait trop pompier et le plus grave les mecs s’y croient trop…moralité c’est un poil too much…Le concept n’est pas inintéressant 3 faces à chaque histoire la mienne la tienne et la vérité ( comme c’est un cd tout cela tient sur une seule face…pouf pouf) mais l’emballage et le manque de modestie  gâche l’ensemble.

 

Fatboy slim : You’ve come a long way baby

 

Le pendant electro du hairy metal doit être le big beat et Fatboy slim en est un digne représentant….c’est donc du lourd du très très lourd, un poil too much aussi, sûrement écoutable sur une piste de danse ( lieu où je ne vais jamais) mais dans ma voiture exaspérant au bout de 3 minutes…quand je pense qu’il a été le bassiste des Housemartins…sniff et resniff

 

Grandaddy : The software slump

 

Un groupe étrange qui vient de Modesto ( la capitale mondiale de l’artichaut) et qui pond un disque inclassable incroyable et extraordinaire.  Je suis incapable de qualifier cette musique (post rock éléctro  peut être )mais ce concept d’album sur la disparition/dépression  des logiciels et des machine tient étonnamment la route autant sur les paroles que sur la musique…un disque rare et essentiel ambitieux et pudique.

 

 

P J Harvey  : Dry

 

Comme son titre l’indique c’est un disque au son très sec, premier ou deuxième album de la PJ. Si elle mettra plus de couleur à ses disques par la suite celui ci sonne comme un cri, un  cri de 35 minutes de tout ce que l’auteur a du emmagasiner pendant son enfance et son adolescence. C’est somptueux et en même temps éprouvant à l’écoute par cette rudesse qui prend à rebrousse poil.

 

 

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