87eme district tome 7 Ed Mcbain . J’ai en projet depuis pas loin de 2 ans maintenant de lire les 55 romans que comporte cette série... vaste projet dont je ne vois pas la fin. Je suis au milieu du tome 7 et il en reste encore 2....pour milieu 2008 cela devrait être bon.... après je attaquerai à tout Simenon...
La conversation amoureuse Alice Ferney Livre trouvé lors de la fermeture d’un bouquiniste, j’en ai lu 54 pages et ai trouvé cela trop.... ou pas assez... bref chiant et insipide. Il est sous la table de nuit mais va sûrement finir dans un carton lors d’un déménagement.
Journal de Kafka je l’ai trouvé au même endroit, je n’ai pas eu le courage de l’entamer pour l’instant, il semble assez ardu et mon cerveau n’est pas assez reposé pour le moment.
Microfictions Régis Jauffret j’en ai lu 40 pages et une envie de vomir m’a pris, livre complaisant, morbide pessimiste.... et nul. Tout est dérangeant, mais aussi affligeant dans le manque de perspective et de distance, ce qui me fait douter de Télérama dont il a reçu un prix. Il va lui aussi finir dans un carton car le jeter serait lui faire trop d’honneur.
Un moment de faiblesse Jean-François Bizot Livre sur le cancer qui vient d’emporter l’auteur, le réalisme cru du récit m’a déstabilisé et je ne suis pas prêt à y faire face pour le moment mais cela méritera une nouvelle tentative. Il reste donc près de la table de nuit.
Journal d’une femme adultère Curt Leviant C’est un livre que j’ai offert à Freebutterfly et qui une fois terminé me l’a prêté. Il me plaira mais il n’est pas ma priorité du moment ( même si la femme de la couverture pourrait l’être...)
Au dessous du volcan Malcolm Lowry considéré comme un chef d’oeuvre, j‘avance à tâtons dans une noirceur de fin de vie d’alcoolique. Ce que j’ai lu est sublime, mais je ne veux pas pour l’instant avancer dans ce volcan.
Oeuvres Nicolas Bouvier j’avais trouvé ce livre tellement sublime que je l’avais prêté à Freebutterfly, qui avec sa manie de tout souligner et corner, avait massacré (embellit ? ) mon exemplaire, ce qui est compréhensible vu la puissance de cet auteur. Je ne lui en veux pas mais l’amitié qui nous lie lui a fait m’offrir un exemplaire qui reste près de moi car se replonger dans le sublime, quel plaisir.
Le chameau sauvage Philippe Jaenada prêté aussi par le papillon, pas eu le temps de voir quand je le lirai
Danube Claudio Magris J’en ai lu 100 pages mais c’est tellement savant que cette déambulation le long de ce fleuve attendra un moment ou mon cerveau sera disponible et reposé ( vacances ?)
Ma vie parmi les ombres Richard Millet Livre trouvé chez le bouquiniste, c’est une épreuve non corrigé d’avant mise en vente qui reste pour le moment rétive à toutes mes tentatives... je ne désespère pas
Bleu de fuite François Emmanuel le même bouquiniste toujours, exemplaire numéroté (n°1815), je n’y ai rien compris et ai abandonné toute tentative de relecture.... le carton se remplit
Les îles éparses Jean louis Magnan il était dans le lot avec le Richard Millet,c’est donc une épreuve non corrigée qui va finir dans le carton, les 3 pages d’entrée de sexe et de saouleries m’ont rebuté comme une vielle bigote... le titre était beau pourtant.
Comment supporter sa liberté Chantal Thomas livre prêté par Freebutterfly, essai sur le bonheur que je tenterai de lire un soir de déprime.
Les sept peurs Laurent Maréchaux Livre trouvé chez le bouquiniste, il est dédicacé à Vincent (ce n’est pas moi) et semble parler d’un aventurier . Je n’ai même pas tenté de le lire mais il reste en stand by.
Avec tout cela on pourrait croire que je suis au chaud pour l’hiver.... Eh bien non je trouve le moyen de faire l’acquisition d’autres livres pour tenter d’augmenter le tas. Je crois que c’est de l’ordre du pathologique... je viens donc de faire l’acquisition (ou en cours de commande ) du dernier John le Carré, du cendrillon d’Éric Reinhardt, de deux livres de David Foenkinos et du tome 2 de l’intégrale des peanuts et enfin un livre offert de Siri Hustvedt. En lisant cela, je crois que ma femme va reparler à ma libraire pour m’interdire de passer le pas de la porte