écoute perpétuelle épisode 22
Paul Weller Heavy soul
Le leader du style council en solo. Si il existe une musique typiquement américaine, il existe aussi une musique pop totalement anglaise, dont les racines viennent des Beatles et Paul Weller, en solo ou en groupe en a été le pape à un moment. Ce disque est superbe au niveau packaging, il s’ouvre en 4 pour le meilleur des effets et le cd se trouve dans une pochette comme un vieux vinyl ( ce n’est pas avec un fichier Mp3 que l’on a ce plaisir). Le disque est pas mal, quelques titre sont somptueux, dont as you lean into the light qui avec son intro à la little wing à la Hendricks est un diamant aux éclats éternels, je pourrai l’écouter des jours entiers dans ma voiture me conduisant, allez au choix à St jean de Luz ou la higway one vers Santa Barbara .
Neil Young : mirror Ball
Le loner avec Pearl jam, un disque de rencontre plutôt rock’n’roll, un son gras pas désagréable quant on rentre dans le trip. Je préfère cependant les disques où neil young joue avec crazy Horse
Hector zazou : Chansons des mers froides
Un ovni dans ma discothèque, j’avais acheté cet album de ce français dont je ne connais absolument rien pour un titre chanté par Suzanne Vega. Il aussi un titre avec Bjork, mais le concept de voyage au cœur des terres froides restent un peu abscons pour moi et je dois avouer que je n’ai pas de goût particulier pour les chants eskimos, je reste donc dubitatif sur ce disque même si le packaging est lui une nouvelle fois superbe.
Tori Amos : litlle eartquakes
Si il y a une confrérie gens allumés, je suis sur que Tori Amos a sa carte de membre fondateur. La voir jouer sur son piano ses chansons magnifiques est toujours une expérience vivifiante tant la belle donzelle vit les choses, on reverrait d’être piano parfois….Mais sur le fond, c’est à dire la musique il n y a rien à ajouter, les chansons sont superbes, Tori Amos ne cache rien, montre (expose ?) ses sentiments et quand un artiste ne triche pas, on ne peut que le suivre.
Blur : Parklife
Deux disques resteront de
Counting crows : August and everything after
La première fois que j’ai entendu Mr Jones, j’ai cru que le ciel me tombait sur la tête tellement cette chanson était magnifique. L’album est à l’unisson de ce titre, entraînant par moments, gorgé d’émotion à d’autres, cet album est dans mon top 10 à ralonge…Entendre anna begins et pleurer tellement les paroles sont vraies et la musique au diapason. j‘ai suivi le groupe depuis mais la flamme de mon amour pour lui s’est éteinte petit à petit, on en reparlera.