Aux innocents la bouche pleine François Simon

Il y a des livres dont vous êtes à peu près sur de dire du bien avant de les lire…ce sont des à priori…le plus souvent ils sont négatifs, mais ils peuvent aussi être positifs….Quel est l’effet le plus fort ? déçu par quelqu’un qu’on aime ou apprécier quelque chose que l’on pensait détester….Me voilà donc bien embêté alors que je tente de chroniquer le dernier livre de François Simon Aux innocents la bouche pleine. Dire que j’ai un à priori favorable vis-à-vis de cet auteur et journaliste est encore en dessous de la réalité. Il est surement l’unique raison qui me fait lire encore le Figaro. Bref...

La ritournelle de l'autoroute

Celle là, elle m’est littéralement tombée dessus….nous sommes donc samedi, la famille Bartllebooth a été divisée par deux, les filles étant à l’anniversaire d’un ami et donc Mr et Mme Bartllebooth en ville pour faire des courses. Petit aparté (amusant ?), Sur une ville comme Amboise, si vous n’êtes pas forcément reconnus, vous êtes au moins connus et il est étonnant (ou pas) que tous les personnes croisées vous interrogent sur la non présence des jumelles à vos cotés, preuve que nous n’existons plus qu’en terme de famille. Bref, pour en revenir au sujet de la notule, Mme traîne Monsieur dans ce...

Amos Lee Last days at the lodge

Amos Lee est considéré (à tort ?) comme un chanteur de jazz….tout cela parce qu’il enregistre pour blue note, le célèbre label, qui a publié des disques de jazz exclusivement il y a bien longtemps mais qui c’est depuis un peu diversifié….Diversifié ne veut pas dire renier, et si Amos Lee n’est pas un jazzman, le jazz n’est tout de même bien loin, non pas dans un aspect improvisation mais en ce sens qu’il embrasse tout une partie de la musique « roots » américaine. Jeune chanteur de 28 ans, ce « last days at the lodge » est cependant son troisième album. Sa musique pourrait être qualifiée de folk,...

petite philosophie du vélo Bernard Chambaz

Cela n’aura échappé à personne qu’il m’arrive de temps en temps d’enfourcher un vélo ou une bicyclette (pour les forts en thème, qu’elle est la différence entre les deux ?), en fait tous les jours où je travaille et plus si affinité le weekend. C’est donc avec mes mollets galbés que j’ai lu ce livre de Bernard Chambaz intitulé petite philosophie du vélo. C’est un livre au choix anecdotique ou indispensable, profond ou léger qui tente de définir, comprendre un certain nombre de concepts philosophiques (apparence, langage, habitude etc…) par le prisme du vélo. C’est bien écrit, philosophique mais...

L'automne est là

En voici la preuve, le premier tas de feuilles ramassé dans mon jardin. cela me fait dire que les prochaines semaines, mon meilleur ami va surement être le rateau à f euilles

LONDON REPORTING

Etonnant comment les déplacements modernes annihilent toute existence même de l’endroit où vous êtes…je suis donc allé à Londres mais je n’en suis même pas sur, était ce vraiment Londres ? Surement car j’ai pris l’Eurostar, payé mon « tube » en pounds et parlé anglais pendant deux jours, j’ai même cru voir des voiture rouler à gauche mais peut être était ce du au décalage horaire…back on the events… Mon rôle intérimaire de travailleur voyageur européen a donc débuté dés le lundi soir, direction gare du nord pour prendre possession d’une chambre d’hôtel, et d’en ressortir aussitôt pour retrouver...

Un dimanche matin à bicyclette

Pour éliminer les quelques agapes de la veille, rien de tel qu’un petit tour à vélo le dimanche matin. Si l’été n’en a pas été un, le ciel en ce dimanche matin lui ressemblait fortement, si ce n’est un petit 7°Celsius qui ramenait prosaïquement à la réalité du moment…l’automne est sur les starting-blocks et n’a jamais été aussi près. Bref voila votre Bartllebooth, légèrement refroidi dans un premier temps, pour un 52 km dans la campagne tourangelle profitant du paysage grâce (à cause ?) de sa moyenne kilométrique plafonnant à 24 km/h. 2H10 pour se remettre d’aplomb, la seule erreur manifeste ayant...

Un samedi à table

Un osso bucco à la milanaise, soit un jarret de veau, des oignons, des carottes, des tomates ( avec un peu de zest d'orange pour relever le goût) La touche finale avec de la gremolata (hachis de persil, de zest de citron et d'ail) Et pour faire passer cela, un bourgogne 2OO5 de chez Camille Giroud subtil avec du caractère qui finalisait le mélange des saveurs. Le bonheur tient à peu de choses finalement

Grant Lee Buffalo Fuzzy

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Et oui, déjà de retour…juste une photo pour patienter. Les impresssions de ce (non ?) voyage plus tard