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le blog bartllebooth Blog de vieux con

du temps ou pas de temps : interlude pour patienter

BARTLLEBOOTH

Peu de temps en ce lundi, je vous mets donc deux vidéos attrapées sur YouTube, YouTube, grand pourvoyeur de ressources pour bloggeur débordé et (ou) flemmard et (ou) illetré. Pour ma part, rayez les mentions (in)utiles….Voici donc Peter Gabriel et l’immense chanteur pakistanais Nusrat Fateh Ali Khan. Un condensé d’orient et d’occident, une ouverture de deux artistes au monde qui les entoure, donner pour donner et le geste en devient magnifique

David abiker : le musée de l'homme (le fabuleux declin de l'empire masculin)

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David abiker : le musée de l'homme (le fabuleux declin de l'empire masculin)
David abiker : le musée de l'homme (le fabuleux declin de l'empire masculin)

Et voici donc une nouvelle pierre à ma pensée sur le présent de l’homme moderne et de son problème de positionnement. J’avais trouvé la première pierre dans un autre livre ( ici ) mais ce n’était pas d’une grande gaieté. Voici donc un petit livre hilarant, qui montre l’homme dans son statut actuel, ses doutes et surtout les pensées qui peuvent traverser son esprit (si si mesdames, un homme pense de temps en temps). Bon d’un point de vue littéraire ce n’est ni mauvais ni excellent (mais bon la littérature cela veut dire quoi ? , c’est de l’ordre de la chronique agréable, d’un blog bien écrit ( l’auteur...

15 days in Normandy (suite et fin)

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15 days in Normandy (suite et fin)
15 days in Normandy (suite et fin)

Après le 13, le 14 (oui oui je sais parfois j’ai des moments de lucidité), arrivée d’une autre partie de la famille, pas de sortie pour voir ces idioties de feux d’artifice mais visionnage de Michel Polnareff sur le champ de mars et un conseil à lui donner, ne pas rentrer sa chemise dans son jean car son embonpoint n’était que plus présent. Je gagnais mon pari sur la chanson de fin (lettre à France) et direction dodo avec une peur au ventre, me retrouver coincer avec les 500 000 personnes, j’en frisonne rien que d’y penser. Dimanche pêche en mer pour constater que plus je vieillis, plus je suis...

15 days in Normandy (épisode 2)

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15 days in Normandy (épisode 2)
15 days in Normandy (épisode 2)

Bon cette suite débute le vendredi 13 Juillet. J’en vois deux ou trois frémir et guetter le chat noir qui pourrait se cacher à ce moment là sous leur table, les autres cherchent leur trèfle à 4 feuilles et la grande majorité dit foutaise (tout en jouant aux jeux de la française des jeux…je suis (évidemment) de ceux là et ce vendredi avait plutôt bien débuté. Pas de pluie à l’horizon (si si, je vous jure, si je mens je vais en enfer) et mme Bartllebooth et moi même étions partis faire des courses laissant la garde des enfants à Mamie Isis (nom du chien de ma mère) et Grand mamie Anneville (lieu...

15 days in Normandy (épisode 1)

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15 days in Normandy (épisode 1)
15 days in Normandy (épisode 1)

Après 15 jours de vacances, que reste t-il, rien ? Des souvenirs ? Des moments volés ou que l’on a juste reçu ? Un peu de tout cela en même temps. Il se dit que j’ai une bonne mémoire, ce qui n’est pas entièrement faux, mais comme tout vieil ordinateur qui se respecte (MO5, TO7…pour les plus jeunes, ne cherchez pas c’est la préhistoire mais je peux dire j’y étais, comme un ancien combattant), je ne fonctionne pas linéairement, j’ai besoin de mots clefs pour faire marcher la machine…Et comme j’aime le papier et le crayon, l’acquisition d’un carnet Quo Vadis Habana m’a permis de tout noter au vol,...

retour à la réalité

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retour à la réalité
retour à la réalité

Retour sur (sous ?) terre ce matin et direction le monde formidable du travail salarié. Pour me tester dame nature a fait tomber de l’eau mais ma fermeté granitique a fait que j’ai quand même enjambé mon joli vélo, retrouvé la gare et mon entreprise. Mes filles m’appelaient papa la taupe pendant les vacances et après avoir jeté l’œil qu’il me reste sur 154 courriels, je me suis dit qu’il fallait peut être enlever mes lunettes pour retrouver le regard myope de l’animal et trouver un coin où m’enfouir pour ne montrer que le bout de mon nez épisodiquement…je l’ai fait sous la couette pendant les vacances...

Proverbe de l'enfer william Blake

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« Le chemin de l’excès mène au palais de la sagesse. » « Tu ne peux connaître ce qui est assez, que si tu as d’abord connu ce qui est plus qu’assez » J’aime bien ces deux là et ils sont une spéciale dédicace à quelqu’un qui les connaît déjà. Quand sommes nous dans l’excès, qu’est ce que la norme. La plupart d’entre nous ont connu des situations limites, ont commis des actions limites, le tout est d’en tirer des leçons mais lesquelles ? Juste apprendre et se construire sa propre philosophie de vie avec ces imperfections. Parfois en ayant goûté l’enfer, le purgatoire peut sembler moins morne et les...

J'aime

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J'aime

J’aime….laisser tomber mon regard dans certains yeux féminins où l’on rêve de s’y plonger tout entier. Leur couleur à la transparence diaphane pourrait vous emprisonner dans la plus douce des cage. Bon honnêtement je ne regarde pas que cela mais comme dirait Suzanne Vega « face is the place where private goes to public » et les yeux ne mentent jamais. Pas trop maquillés juste surlignés, un croisement d’un instant avec une inconnue, un regard plus insistant des moments volés ou acceptés et oublier tout le reste pour un instant.

14 Juillet

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14 Juillet
14 Juillet

Bon en principe, si j’ai réussi à maîtriser le serveur over-blog, c’est aujourd’hui le 14 juillet , jour de la fête nationale. (phrase initiale completement obsolète) je me suis completement planté dans ma programmation et tout est arrivé en ligne d'un coup....pouf pouf moi qui passe pour un pro de l'informatique parfois....Bref il y a donc 8 articles publiés avec celui là. Profitez de la lecture, il n' y en aura pas d'autres avant une semaine minimum. Pour ceux qui ne sont pas partis en vacances comme le salaud que je suis (merci les avancées sociales), cela veut dire que c’est férié…profitez...

Nicolas Bouvier

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Nicolas Bouvier
Nicolas Bouvier

Tiré de l’usage du monde « Finalement, ce qui constitue l’ossature de l’existence , ce n’est ni la famille, ni la carrière, ni ce que d’autres diront ou penseront de vous , mais quelques instants de cette nature , soulevés par une lévitation plus sereine encore que celle de l’amour, et que la vie nous distribue avec parcimonie à la mesure de notre faible cœur » Ah ces instants où tout semble parfait en place…fluide, tout cela est fugace mais quand on attrape un instantané au vol, la vie prend l’espace d’un instant tout son sens et semble moins futile ou inutile. Je ne peut que vous conseiller de...

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